je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j’avais laissé s’amollir un morceau de poisson. Mais à l’instant même où la gorgée mêlée des miettes de thon toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d’extraordinaire en moi
Par yves brette le
vendredi 8 février 2019, 08:43 - Lien permanent
Marcel Proust : à la recherche du thon perdu
"Petites Madeleines qui semblaient avoir été moulées dans la valve rainurée d’une coquille de Saint-Jacques"
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