le cycle de vie des billes sauvages remontant les rivières
Larry Marley, Gravitywell Number 11, 54"W x 18"D x 38"H, Cherry, maple, brass, stainless steel (site web)
tags : saumons métalliques, jouer aux billes, automate, animation
alt : sculpture en bois animée à la manivelle permettant à des billes métalliques de suivre un parcours sans fin
un jour sans fin
le cycle de vie des billes sauvages remontant les rivières
la baratte à rêves
la baratte à rêves
Kinetic art entirely from wood, William Le, "DejaVu"
art cinétique en bois tournant jusqu'à 10-12 heures sans électricité après remontage, variation du motif d'illusion de Moire
tags : roue de la fortune, et pourtant elle tourne, animation, mobile, illusion d'optique, les idées brico-facile de tonton yves : 292
bonjour c'est pour les calendriers
l'hésitation
Georg Wilhelm Friedrich Hegel : la dialectique de la figure 1 et de la figure 2
Georg Wilhelm Friedrich Hegel : la dialectique de la figure 1 et de la figure 2
A clip from Et Cetera (1966), one of Jan Švankmajer’s earliest surreal animations for Krátký Film Praha
tags : animation, la dialectique du maître et de l'esclave, phénoménologie de l'esprit
alt : un personnage dresse un animal au fouet jusqu’à se transformer lui-même en bête
Trois personnages sans visage apprennent chacun une « compétence » : l’un se dote d’ailes et vole entre deux chaises sans jamais quitter son point de départ ; un autre dresse un animal au fouet jusqu’à se transformer lui-même en bête ; un troisième dessine sans cesse des maisons dont il ne peut ni entrer ni sortir.
Entièrement réalisée en animation 2D découpée, sur une musique électronique pulsée par Zdeněk Liška, cette œuvre transforme ces minuscules paraboles en un rituel à la fois rituel et légèrement cruel.
Réalisé en Tchécoslovaquie en 1966, le film se présente comme une fable de la Guerre froide sur la répétition et le contrôle : nous inventons des outils pour nous libérer, puis nous nous retrouvons piégés par leurs routines. Les ailes ne libèrent pas, le fouet ne domine pas, la maison n’abrite pas. Les personnages sont pris dans un cycle perpétuel de création, d’obéissance, d’effondrement, etc.
Sous son apparente simplicité, c'est un film intimiste sur la condition humaine : plus nous essayons de maîtriser notre monde, plus nous risquons de devenir ce qui nous maîtrise.
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