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Votre recherche de juste un doigt a donné 15 résultats.

juste un doigt de religion

, 07:09

Henriette Browne la religieuse 1859.png, déc. 2022
juste un doigt de religion
Vous ne voulez pas un whisky d'abord ?
Henriette Browne, la religieuse, 1859 / La Cité de la peur, les nuls

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tu ne veux pas un whisky d'abord ?

, 08:12

The Resident (2011) dir. Antti Jokinen juste un doigt.gif, nov. 2021
Jeffrey Dean Morgan as Max ,The Resident (2011) dir. Antti Jokinen
tag : juste un doigt

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juste un doigt, vous ne voulez pas que je vous donne l'heure d'abord ?

, 07:46

romantisme de l'anneau tu devrais enlever ta bague quand tu me doigtes.jpg

  • tu devrais enlever ta bague quand tu me doigtes
  • je ne porte pas de bague, c'est ma montre


tag : romantisme de l'anneau, roman photo, si à 50 ans tu n'as pas mouillé ta Rolex tu as raté ta vie, un peu de doigté et d'amour

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Franz Kafka : la métamorphose. texte intégral

, 08:11

Franz Kafka.jpg


Franz Kafka La métamorphose suivi de Dans la colonie pénitentiaire Traduit par Bernard Lortholary La Bibliothèque électronique du Québec Collection Classiques du 20e siècle Volume 85 : version 1.0
2 La métamorphose suivi de Dans la colonie pénitentiaire Édition de référence : Librio, Flammarion, 1988.
3 La métamorphose
4 1
En se réveillant un matin après des rêves agités, Gregor Samsa se retrouva, dans son lit, métamorphosé en un monstrueux insecte. Il était sur le dos, un dos aussi dur qu’une carapace, et, en relevant un peu la tête, il vit, bombé, brun, cloisonné par des arceaux plus rigides, son abdomen sur le haut duquel la couverture, prête à glisser tout à fait, ne tenait plus qu’à peine. Ses nombreuses pattes, lamentablement grêles par comparaison avec la corpulence qu’il avait par ailleurs, grouillaient désespérément sous ses yeux. « Qu’est-ce qui m’est arrivé ? » pensa-t-il. Ce n’était pas un rêve. Sa chambre, une vraie chambre humaine, juste un peu trop petite, était là tranquille entre les quatre murs qu’il connaissait bien. Au-dessus de la table où était déballée une collection d’échantillons de tissus – Samsa était représentant de commerce –, on voyait accrochée
5 l’image qu’il avait récemment découpée dans un magazine et mise dans un joli cadre doré. Elle représentait une dame munie d’une toque et d’un boa tous les deux en fourrure et qui, assise bien droite, tendait vers le spectateur un lourd manchon de fourrure où tout son avant-bras avait disparu. Le regard de Gregor se tourna ensuite vers la fenêtre, et le temps maussade – on entendait les gouttes de pluie frapper le rebord en zinc – le rendit tout mélancolique. « Et si je redormais un peu et oubliais toutes ces sottises ? » se dit-il ; mais c’était absolument irréalisable, car il avait l’habitude de dormir sur le côté droit et, dans l’état où il était à présent, il était incapable de se mettre dans cette position. Quelque énergie qu’il mît à se jeter sur le côté droit, il tanguait et retombait à chaque fois sur le dos. Il dut bien essayer cent fois, fermant les yeux pour ne pas s’imposer le spectacle de ses pattes en train de gigoter, et il ne renonça que lorsqu’il commença à sentir sur le flanc une petite douleur sourde qu’il n’avait jamais éprouvée.
6 « Ah, mon Dieu », songea-t-il, « quel métier fatigant j’ai choisi ! Jour après jour en tournée. Les affaires vous énervent bien plus qu’au siège même de la firme, et par-dessus le marché je dois subir le tracas des déplacements, le souci des correspondances ferroviaires, les repas irréguliers et mauvais, et des contacts humains qui changent sans cesse, ne durent jamais, ne deviennent jamais cordiaux. Que le diable emporte tout cela ! » Il sentit une légère démangeaison au sommet de son abdomen ; se traîna lentement sur le dos en se rapprochant du montant du lit afin de pouvoir mieux redresser la tête ; trouva l’endroit qui le démangeait et qui était tout couvert de petits points blancs dont il ne sut que penser ; et il voulut palper l’endroit avec une patte, mais il la retira aussitôt, car à ce contact il fut tout parcouru de frissons glacés. Il glissa et reprit sa position antérieure. « À force de se lever tôt », pensa-t-il, « on devient complètement stupide. L’être humain a besoin de son sommeil. D’autres représentants vivent comme des femmes de harem. Quand, par exemple, moi je rentre à l’hôtel dans le courant
7 de la matinée pour transcrire les commandes que j’ai obtenues, ces messieurs n’en sont encore qu’à prendre leur petit déjeuner. Je devrais essayer ça avec mon patron ; je serais viré immédiatement. Qui sait, du reste, si ce ne serait pas une très bonne chose pour moi. Si je ne me retenais pas à cause de mes parents, il y a longtemps que j’aurais donné ma démission, je me serais présenté devant le patron et je lui aurais dit ma façon de penser du fond du cœur. De quoi le faire tomber de son comptoir ! Il faut dire que ce ne sont pas des manières, de s’asseoir sur le comptoir et de parler de là-haut à l’employé, qui de plus est obligé d’approcher tout près, parce que le patron est sourd. Enfin, je n’ai pas encore abandonné tout espoir ; une fois que j’aurai réuni l’argent nécessaire pour rembourser la dette de mes parents envers lui – j’estime que cela prendra encore de cinq à six ans –, je ferai absolument la chose. Alors, je trancherai dans le vif. Mais enfin, pour le moment, il faut que je me lève, car mon train part à cinq heures. » Et il regarda vers la pendule-réveil dont on entendait le tic-tac sur la commode. « Dieu du

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tu ne veux pas un Whisky d'abord ?

, 10:35

Christian Schad deux femmes 1928 érotisme.jpg
peintre : Christian Schad
tag : tu veux un Whisky ? Juste un doigt...

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