À cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter, j'ai fait un mouvement en avant. Je savais que c'était stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un pas.
Par yves brette le
mardi 19 avril 2016, 05:58 - Lien permanent
dessin : Jose Luis Hernandiz
texte : Albert Camus : L'Etranger. Le meurtre de l'Arabe
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