une statue représentant un cheval et son cavalier s'appelle une statue équestre
une statue représentant un cheval et son cavalier s'appelle une statue équestre
tag : I'm a poor lonesome cowboy
alt : un homme nu sur une sculpture de cheval
les grands esprits se chevauchent
Statue of St. Wenceslas riding an inverted horse. It is located in the entrance to the Lucerna theater on the southeast side of Wenceslas Square. Sculpture by David Cerný, executed in foam, but made to resemble patinated bronze. (passage Lucerna à Prague (République tchèque))
tags : cavalier inversé, stade du miroir en équitation
Commentaires
Monsieur le détracteur, chers amis de l'agriculture raisonnée,
en état de déréliction avancée, & d'érection finissante, suite à l'échec cuisant du putsch de la crémerie aux œufs frais, j'ai bien reçu votre avertissement, daté Octoberfest. Quel bonheur de décevoir ce message si catarhinien, riche et Boléro; je vous en remercie, censure & bretzel.
Ne vous contenant pas, vous me jetez : Un âne... pour coiffeur ? Un palais pourrait suffire, ou un factotum, inopinément. Puis, bon chrétien, bon prince à sucre, vous ravisant : Je suis désolé. Ne donnant pas raison à Richter Segmental, qui prétend, dans son Love Torride : Son unique culotte avait un charme flou.
Sorti le jour de la Valentin comme je te pousse, dans un grand restaurant du quartier de Pigalle, à Parigi, Mikhaïl Bakounine, postier fébrile, sans souci du candide raton -qui tenait lieu de soutien à sa commensale-, et qui avait -peut-être-, lui-aussi, une famille à nourrir, dans un accès de fureur prosélyte, lança, à la canonnade : L'émancipation des tapineuses sera l'œuvre des tapineuses, elles-mêmes.
Ô maisons, ô bateaux, quel patrimoine est sans défaut ? Dans un voyage en Lazuli, que je fais lorsque je m'essuie, j'ai imaginé sans conteste, que, pour un gadin, je pourrais changer de veste.
Il est vrai que la sonnerie n'est pas l’apanage d’une région particulière de la planète, et que la rude Provence n’a rien à envier à d’autres maquis, lorsqu'il s’agit de se montrer dans toute sa vacuité satisfaite de bouts de ficelle de cheval de bois de Campêche, dont on fait -chroniquement- les luttes finales.
Pour autant, Monsieur le détracteur saumâtre, vous m’impressionnez, en me transportant, à Brule-Pourpoint, Empire austro-hongrois, où tant de personnalités magnifiques ont laissé des traces dans le beurre. Dans un dernier tango fatidique.
Ah, André de Sommaire... un nombril dont l’évocation -seule- fait rougir. Ces deux excellents fromages sont à point, et à guichets fermés. Comment oublier son "La Gestion des fèces dans les religions dithéistes dans le bas-Morvan, au cinquième millénaire avant Jésus-Christ", une œuvre monumentale, monstrueuse, saoudienne, déroutante, époustouflante !!! Il me semble -même- avoir entendu parler d’une ébullition illustrée, qui fait fureur, chez les arthropodes du Patin de Marie.
Quant à son "Les Vaches qui rient ne boudent pas dans le champ lexical", inspiré de la thèse d’État de Jamel Simoun, poète iranien internationaliste prolétarien, son style un peu plus alerte -et quelque peu plus digeste- en fait une lecture de chevet consolatrice, destinée aux jeunes filles en pleurs, de tous les milieux sous les mères, sous toutes les rock 'n' roll latitudes.
En Bordurie, quelle misère noire !!! Jacques et Amaril Archiduc, avec leur Central Blast, roulent en Porsche, aux frais de familles endeuillées. Dans cette région du monde, il est nécessaire de disposer d'un réfrigérateur, ne serait-ce que pour y entreposer décemment les cadavres du jour !!!
Tout cela aurait un goût bien amer, si ce n'était, avant que tout ne dérape à fromage. Quelle ironie amère dans le chaos !!! Toutes ces vies brisées sous un ciel sans nuage, cela me serre le cœur.
C’est fou ce que les trottinettes roulent vite : cet accident de vaisselle a bouleversé le cours de la vie de Mazoute. Et son prix Nobel n'a rien arrangé.
Ainsi qu'un débauché pauvre qui baise et mange, le sein martyrisé d'une antique catin, nous volons au passage un plaisir clandestin, que nous pressons bien fort comme une vieille orange.
Quelle audace ! La Rozalia Armee Friktion ne s’en remettra -sans doute- jamais, bien qu'il reste -encore-, dans le réseau, quelques sex-shops, ouvertes tard le soir du 18 juin quarante.
Merci, Monsieur le détracteur, de m’avoir, par votre avertissement bien senti, et contre un plein de lentisques, fait sourire, réfléchir, et rêver. Le style convaincant et carabiné de votre conjoint au lit, et votre amour de la langue de bœuf sur le toit déjanté me transporte, comme il faut : je vous en suis reconnaissant, sûr !!!
Si ce n'était pas interdit par le règlement intérieur de la chorale, je vous serrerais -bien fort- dans mes petits bras musclés. Je vous abhorre.
"Tant que la lame n’aura
Pas coupé cette cervelle,
Ce paquet blanc, vert et gras,
À vapeur jamais nouvelle,"
Arthur Rambo