tu te méfieras des hommes qui veulent savoir à quoi tu penses
Belle de Jour (1967) Luis Buñuel, Catherine Deneuve
tag : BDSM
alt : un homme insiste pour savoir à quoi pense une femme blonde soumise au fouet, aux assauts d'un serviteur, puis allongée dans son lit
Mot-clé - video
tu te méfieras des hommes qui veulent savoir à quoi tu penses
le comportement défensif des anémones vertes géantes face au touche-pipi des filles
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tag : Ils pissent comme je pleure Sur les femmes infidèles (Jacque Brel, dans le port d'Amsterdam)
alt : l'éjaculation angoissée des fleurs stimulées par les mains des femmes prises de fou rire
un temps pour réparer
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tag : tricot restauratif, les idées brico-facile de tonton yves : 290
alt : reprise au crochet à remailler d'une béance dans un tricot mauve
Georg Wilhelm Friedrich Hegel : la dialectique de la figure 1 et de la figure 2
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A clip from Et Cetera (1966), one of Jan Švankmajer’s earliest surreal animations for Krátký Film Praha
tags : animation, la dialectique du maître et de l'esclave, phénoménologie de l'esprit
alt : un personnage dresse un animal au fouet jusqu’à se transformer lui-même en bête
Trois personnages sans visage apprennent chacun une « compétence » : l’un se dote d’ailes et vole entre deux chaises sans jamais quitter son point de départ ; un autre dresse un animal au fouet jusqu’à se transformer lui-même en bête ; un troisième dessine sans cesse des maisons dont il ne peut ni entrer ni sortir.
Entièrement réalisée en animation 2D découpée, sur une musique électronique pulsée par Zdeněk Liška, cette œuvre transforme ces minuscules paraboles en un rituel à la fois rituel et légèrement cruel.
Réalisé en Tchécoslovaquie en 1966, le film se présente comme une fable de la Guerre froide sur la répétition et le contrôle : nous inventons des outils pour nous libérer, puis nous nous retrouvons piégés par leurs routines. Les ailes ne libèrent pas, le fouet ne domine pas, la maison n’abrite pas. Les personnages sont pris dans un cycle perpétuel de création, d’obéissance, d’effondrement, etc.
Sous son apparente simplicité, c'est un film intimiste sur la condition humaine : plus nous essayons de maîtriser notre monde, plus nous risquons de devenir ce qui nous maîtrise.
le dormeur doit se réveiller
le dormeur doit se réveiller
Shuji Terayama, Fruits of Passion, 1981
tag : bdsm
alt : une femme manie le fouet, pendant que le choeur chante, quelqu'un pousse des cris
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