Serge Gainsbourg - La Chanson de Prévert
"Oh, je voudrais tant que tu te souviennes
Cette chanson était la tienne
C'était ta préférée, je crois
Qu'elle est de Prévert et Kosma
Et chaque fois les feuilles mortes
Te rappellent à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
N'en finissent pas de mourir
Avec d'autres bien sûr, je m'abandonne
Mais leur chanson est monotone
Et peu à peu je m'indiffère
À cela il n'est rien à faire
Car chaque fois, les feuilles mortes
Te rappellent à mon souvenir
Jour après jour les amours mortes
N'en finissent pas de mourir
Peut-on jamais savoir par où commence
Et quand fini l'indifférence?
Passe l'automne, vienne l'hiver
Et que la chanson de Prévert
Cette chanson, Les Feuilles Mortes
S'efface de mon souvenir
Et ce jour là, mes amours mortes
En auront fini de mourir
Et ce jour là, mes amours mortes
En auront fini de mourir"
Paroliers : Serge Gainsbourg
Paroles de La Chanson de Prévert © Warner Chappell Music France
Mot-clé - saint valentin
Oh, je voudrais tant que tu te souviennes Cette chanson était la tienne
partagez ce bretzel liquide avec vos amis :
aimer, ce n'est pas se regarder dans les oeufs, c'est envoyer du pâté à deux
Antoine de Saint-Exupéry
partagez ce bretzel liquide avec vos amis :
nous nous sommes tant aimés
tag allumette, allumeuse, feu de paille, amours brûlantes, se consumer, les noces de feu, Cannes
partagez ce bretzel liquide avec vos amis :
L'amour c'est donner ce qu'on n'a pas à quelqu'un qui n'en veut pas. Jacques Lacan, Cannes
...
l'absurde inverse de l'avarice
partagez ce bretzel liquide avec vos amis :
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